L'actu

Nous sommes heureux de partager avec vous notre passion pour l'archéologie intuitive à travers nos voyages en 5D. 

Corinne Dupeyrat a intuité autour du photographe français Émile Gsell (1838-1879), en “vol libre”, à partir de questions posées par Patrick Kersalé et par un chercheur doctorant. Le plupart des réponses semblent pertinentes. Certaines ont pu faire l'objet d'une validation formelle, d'autres recoupent l'intuition de Katia Kolobaeva, d'autres encore semblent si cohérentes que le photographe en devient vivant ! La plupart des informations concernent sa personnalité et sa vie privée, d'autres ses relations avec des personnes du Protectorat français ou proche de celui-ci, d'autres encore ses méthodes de travail et les raisons de son succès.

Depuis longtemps, je nourrissais le rêve d'approfondir mes connaissances sur les arbres à cloches angkoriens et certains aspects des rituels funéraires de cette époque grâce à l'intuition. Mon attente a été comblée lorsqu'un rishi angkorien m'a emmené dans la forêt. Mon intention était d'écouter le son d'un arbre à cloches afin de connaître son échelle musicale. Mais au lieu de faire résonner les cinq cloches composant l'instrument, le rishi m'a communiqué la clé pour en dévoiler l'échelle. À cette période, il n'y avoir d'échelle fixe avec un fondamental, à la manière de la musique occidentale, mais une échelle relative solidement établie, fondée sur les proportions en usage dans le contexte hindou-bouddhique. Il me reste à effectuer les calculs nécessaires pour écouter un arbre à cloches, sachant que je dispose dans ma base de données de plusieurs sons provenant d'éléments d'arbres à cloches angkoriens originaux enregistrés lors de mes missions d'étude. Affaire à suivre...

Le rishi m'a également initié à la préparation du beurre clarifié, en me transmettant la recette de son utilisation et une information de première importance pour faire avancer la connaissance universelle. Affaire à suivre...

Lors d'un exercice d'archéologie intuitive organisé par Corinne Dupeyrat en Normandie, la participante Emmie Esnault perçoit visuellement et auditivement un joueur de corne à l'entrée de la grotte de Niaux. Quelques secondes plus tard, un âne voisin braie d'une manière qui rappelle étrangement le son de la corne. Cette expérience pousse à contacter l'archéomusicologue Tinaig Clodoré-Tissot. Malgré le manque de preuves tangibles, elle est convaincue que les Hommes du Paléolithique utilisaient des cornes, soulignant que les conques étaient utilisées, partageant le même principe de jeu. Ajoutons que les cornes étaient plus accessibles que les conques dans les sociétés de chasseurs.