Préhistoire

En août 2022, la période la plus éloignée que nous avions explorée dans notre modèle 3D commun en archéologie khmère était le XIIe siècle. Même si dans le paradigme quantique le temps n'a pas de réalité fixe, notre esprit rationnel est souvent en proie au doute. Nous nous interrogions alors sur la possibilité de survenance de synchronicités pour la période du Paléolithique supérieur dont la plus ancienne que nous allions interroger était le Gravettien. La réponse n'allait pas tarder à tomber au moment de notre visite de les grottes de Gargas


Mains négatives des grottes de Gargas

Main négative dans les grottes de Gargas.
Main négative dans les grottes de Gargas.

Le 12 août 2022, nous visitons les grottes de Gargas comme simples visiteurs. L'apogée de la visite est la salle des mains négatives avec leurs doigts amputés ou repliés. Plusieurs théories, aussi stupides les unes que les autres, sont répétées en boucle depuis des décennies et même les ouvrages les plus récents les mentionnent encore. Nous demandons alors une synchronicité pour connaître la raison qui a conduit à ce type de représentation. La réponse adviendra dans les minutes qui suivront, ainsi que le lendemain et le surlendemain. 

Nous avons contacté le chercheur en charge de l'étude de ces empreintes de mains ainsi que le personnel de la grotte mais nous n'avons obtenu aucune réponse. De ce fait, nous n'avons pu réaliser la validation formelle, ce qui nous interdit pour l'heure de publier. 

Si vous souhaitez en savoir plus, utilisez notre page Contact


Galets peints de la grotte du Mas d'Azil

Galets peint de la grotte du Mas-d'Azil.
Galets peint de la grotte du Mas-d'Azil.

Le 16 août 2022, après notre visite de la grotte du Mas-d'Azil, nous visitons le musée de Préhistoire éponyme. De très nombreux galets peints, également appelés galets aziliens, ont été découvert dans cette grotte. Leur fonction, si toutefois ils en avaient une, demeure énigmatique. Nous avons donc demandé une synchronicité dans le musée même, devant les objets, et obtenu deux réponses synchronistiques concordantes, le jour même et le lendemain, sous forme d'images envoyées par WhatsApp par une personne qui n'était pas au courant de notre recherche.

Nous ne révélons pas cette découverte pour l'instant.

Si vous souhaitez en savoir plus, utilisez notre page Contact


Une corne à la grotte de Niaux

Le 16 juillet 2023, lors d’un stage de communication animale, Corinne Dupeyrat accepte de réaliser un exercice d’archéologie intuitive avec quatre de ces stagiaires. Je (Patrick Kersalé) reste pour ma part en retrait, répondant seulement aux questions des personnes. Corinne et ses stagiaires ne connaissent pas grand-chose de la période du Paléolithique supérieur et rien à propos de la grotte de Niaux. 


Corinne introduit les participants dans la grotte et les stimule par quelques suggestions et questions. Tout à coup, une participante (Emmie Esnault) dit qu’elle voit quelqu’un souffler dans une corne. Corinne demande si le joueur est dans la grotte. Emmie répond qu'il se trouve à l’entrée de la grotte et souffle vers l’extérieur. Quelques secondes plus tard, l’âne dans le champ mitoyen du lieu de stage, entame un braiment qui commence comme un son de corne !

En différé par rapport à l'exercice, Emmie relate avoir perçu le son du joueur de corne parallèlement à l'observation visuelle qu'elle faisait de lui. Elle exprime également sa surprise d'entendre l'âne brailler dans le champ voisin, car son cri ressemblait étrangement au son de la corne.

Quelques jours plus tard, je décide de contacter Tinaig Clodoré-Tissot, archéomusicologue de renom. Je lui partage l'histoire de cette communication intuitive. Sa réponse est immédiate et sans équivoque : elle est convaincue que les Hommes du Paléolithique ont utilisé des cornes, même si aucun spécimen n'a survécu en raison de leur composition organique. Cependant, elle souligne que les Paléolithiques ont bel et bien utilisé des conques. Bien que ces instruments diffèrent de la corne, le principe de jeu demeure fondamentalement le même.